jeudi 3 juillet 2014























Sarkozy : «Jamais je n'ai commis un acte contraire à l’État de droit»
(surnommé dans le milieu«passe partout l'innocent»)

18h45. Sarkozy se dit «profondément choqué» après sa garde à vue. «Il était venu le temps pour moi de m'expliquer, de prendre la parole. Et la nuit dernière qui m'a été réservée m'a convaincu de la nécessité de le faire ici et maintenant», affirme-t-il. «Je suis profondément choqué de ce qui s'est passé. Je ne demande aucun privilège. Et si j'ai commis des fautes, j'en assumerai toutes les conséquences. Je ne suis pas un homme qui fuit ses responsabilités.»

18h40. Sarkozy affirme que «jamais» il n'a «commis un acte contraire aux principes républicains ou à l’État de droit». «Tout est fait pour donner de moi une image qui n'est pas conforme à la vérité» ajoute-t-il. «Je veux dire à ceux qui nous écoute ou à ceux qui nous regarde que je n'ai jamais trahi leur confiance. Que jamais je n'ai commis un acte contraire aux principes républicains ou à l'Etat de droit.»

18h35. Nicolas Sarkozy dénonce «une instrumentalisation politique de la justice». «La situation était suffisamment grave pour que je dise aux Français ce qu'il en était de l'instrumentalisation politique d'une partie de la justice aujourd'hui. Dans notre pays, qui est le pays des droits de l'homme, et de l'Etat de droit, il y a des choses qui sont en train d'être organisées. Les Français doivent les connaître. En leur conscience et en toute liberté, ils doivent juger de ce qu'il en est.»

"Je suis profondément choqué" MDR
http://www.dailymotion.com/video/x20opa9_nicolas-sarkozy-je-suis-profondement-choque_news
Photo : Sarkozy : «Jamais je n'ai commis un acte contraire à l'Etat de droit»
(surnommé dans le milieu«passe partout l'innocent»)

18h45. Sarkozy se dit «profondément choqué» après sa garde à vue. «Il était venu le temps pour moi de m'expliquer, de prendre la parole. Et la nuit dernière qui m'a été réservée m'a convaincu de la nécessité de le faire ici et maintenant», affirme-t-il. «Je suis profondément choqué de ce qui s'est passé. Je ne demande aucun privilège. Et si j'ai commis des fautes, j'en assumerai toutes les conséquences. Je ne suis pas un homme qui fuit ses responsabilités.» 

18h40. Sarkozy affirme que «jamais» il n'a «commis un acte contraire aux principes républicains ou à l'Etat de droit». «Tout est fait pour donner de moi une image qui n'est pas conforme à la vérité» ajoute-t-il. «Je veux dire à ceux qui nous écoute ou à ceux qui nous regarde que je n'ai jamais trahi leur confiance. Que jamais je n'ai commis un acte contraire aux principes républicains ou à l'Etat de droit.»

18h35. Nicolas Sarkozy dénonce «une instrumentalisation politique de la justice». «La situation était suffisamment grave pour que je dise aux Français ce qu'il en était de l'instrumentalisation politique d'une partie de la justice aujourd'hui. Dans notre pays, qui est le pays des droits de l'homme, et de l'Etat de droit, il y a des choses qui sont en train d'être organisées. Les Français doivent les connaître. En leur conscience et en toute liberté, ils doivent juger de ce qu'il en est.»

"Je suis profondément choqué" MDR
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